Après quelques années de journalisme, Martin Granger a opté pour la chanson, mais s’est lancé dans le théâtre pour l’abandonner au profit de l’animation d’ateliers d’écriture, qu’il délaisse toutefois pour devenir compositeur, jusqu’à ce qu’il trouve un vrai métier, la conception de sites web, avant d’en démissionner pour se consacrer à sa passion : les jeux oulipiens et pataphysiques, dont le détournera l’invention de générateurs de textes automatiques. Outre un attachement à la langue et à la musique, une constante de son travail serait d’essayer de ne jamais faire deux fois la même chose, avec pour résultat qu’il ne s’ennuie jamais.